Au journal de M6 : Martine Miel Martine partenaire de Bulles de Ruche pour le miel de lavande
Le mois dernier vous retrouviez Miel Martine dans le journal de M6 à l’occasion de la récolte du miel de Lavande. Un miel IGP Provence produit sur le Plateau de Valensole. Un précieux nectar que les fondateurs de Bulles de Ruche ont eu l’idée de transformer en hydromel moderne. Une boisson revisitée légèrement effervescente et peu alcoolisée, qui va vous faire trinquer tout l’été.
Le mythique Plateau de Valensole
La Provence, le pays de la lavande, abrite un des plus vastes plateaux de France. A plus de 500m de hauteur sur 800km2, sa plante emblématique y pousse à perte de vue. Sur ces terres, la lavandiculture côtoie aussi les épis blé, les amandiers et les oliviers. Des témoins d’une culture ancestrale qui s’inscrit dans le patrimoine Provençal.
Au mois de juillet, la floraison des plants de lavandin régale les sens des amateurs de paysages authentiques. Des lignes parallèles d’un bleu-violet qui s’étirent jusqu’à l’horizon, dans un parfum caractéristique portée par la brise Méditerranéenne. Un site préservé et ensoleillé toute l’année qui continue de faire rêver.
L’hydromel : la boisson des Dieux
Historiquement la plus ancestrale des boissons alcoolisées, dans la mythologie, elle fût offerte aux Hommes par les Dieux. Un breuvage alcoolisé à base d’eau et de miel qui contenait autrefois du venin d’abeille. Des propriétés qui lui conféraient des vertus magiques selon les coutumes : puissant aphrodisiaque ou élixir de longévité.
Jadis, une boisson largement consommée et mystifiée par les peuples de tous les horizons. Au cœur de nombreux rituels passés, notamment dans la culture Celte, elle sera à l’origine de l’expression “Lune de Miel”. La tradition voulait que les jeunes mariés boivent de l’hydromel durant le cycle lunaire qui suivait le mariage.
Comme toute boisson alcoolisée, l’hydromel est issu du processus de fermentation. En absence d’oxygène des levures transforment le sucre (glucose) du miel en alcool (éthanol). Ce processus biochimique produit aussi du gaz (CO2) qui peut être conservé pour faire pétiller le liquide.
A travers les époques cet alcool se fît de plus en plus rare, remplacé peu à peu par la bière et le vin. Aujourd’hui cependant il tend doucement à se démocratiser, parfois dans des versions plus modernes. C’est le parti pris de Paul-Augustin et Marc-Antoine, les fondateurs de Bulles de Ruche, qui proposent une variante effervescente et moins alcoolisé, se rapprochant du cidre.